La Bible est la parole de Dieu. Elle est infaillible, et elle est pour les chrétiens la seule norme de vie et de foi. La Bible est constituée de 66 livres, répartis entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Elle a été rédigée par plusieurs auteurs ayant vécu entre 1900 av. JC jusqu'au premier siècle de l'ère chrétienne, "mais c'est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu." (2 Pierre, chapitre 1, verset 21)
Les 5 premiers livres contiennent la loi de Dieu, et racontent les débuts de l'humanité, depuis la création du monde jusqu'à l'établissement du peuple d'Israël en Terre Promise. Ensuite viennent des livres historiques, des livres poétiques (les Psaumes, ...), des livres prophétiques. Beaucoup de ces prophéties ont déjà eu leur accomplissement, d'autres concernent des temps à venir. Ensuite viennent les livres du Nouveau Testament : ils racontent la première venue de Jésus sur terre et le développement de l'Eglise pendant le premier siècle.
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L’origine de la messe provient de la cène du Seigneur, le dernier repas que Jésus partagea avec ses disciples au soir du jeudi saint : « Prenant du pain et rendant grâces, il le rompit et leur donna en disant : Ceci est mon corps, qui va être donné pour vous, faites ceci en mémoire de moi (Saint Luc XXII, 19-20).
La Messe est le sacrifice du corps et du sang du Christ offert sur l’autel sous les espèces du pain et du vin pour représenter et renouveler le sacrifice de la croix.
L’1visible propose une porte d’entrée accessible à tous dans la Foi et l’Église. Chaque mois des rendez-vous d’actualité, de spiritualité, de psychologie et de
culture.
24 pages pour rejoindre le lecteur dans sa vie quotidienne et lui ouvrir l’appétit spirituel.
Le pape François lance, dans cette première encyclique entièrement de sa main, un appel à tous les hommes pour préserver la terre, notre « maison commune ».
Sensible à « la grandeur, l'urgence et la beauté du défi qui se présente à nous », le pape interpelle les chefs d'Etat aussi bien que les simples citoyens pour délivrer un message fort non
seulement sur l’environnement mais sur la place de l'homme au sein de la création.
Donnant à l'écologie une résonance profondément humaine, sa réflexion nous tourne vers les liens qui unissent tous les hommes et nous invite à remettre l'économie et la politique, qu'elles soient internationales ou locales, au service de la personne humaine avec une attention toute particulière pour les plus pauvres.
Un texte magistral sur notre responsabilité commune pour préserver la création et tous ceux qui l'habitent et continuer à nous en réjouir ensemble dans la lignée de Saint François d’Assise.
Le pape François vient de publier l’exhortation apostolique : « la Joie de l’Amour ». Elle est le fruit de près de trois ans d’écoute et surtout du travail de deux assemblées d’évêques du monde entier (assemblées synodales) sur le thème de la famille.
Le titre même de ce document nous dit déjà beaucoup de choses : « la Joie de l’Amour » pour parler de nos familles dans toutes leurs diversités. Les mots joie et amour sont aussi écrits avec des majuscules. Le pape François veut sans doute nous faire comprendre que la Joie et l’Amour sont en premier lieu des manifestations et des dons de Dieu. Il faut commencer par les accueillir. L’humanité peut alors répondre et tenter de réaliser en son sein le désir de Dieu. Nos familles doivent être ce premier lieu d’accueil. A la lumière de la parole de Dieu, notre pape s’emploie à porter un regard large et assez complet sur la grande diversité de nos familles de par le monde. Il nous invite alors à entrer dans une « pédagogie » du discernement : porter un regard attentif et intentionné sur toutes nos familles. Nos familles sont souvent traversées par des crises, parfois graves… L’Eglise, en premier lieu les évêques et les prêtres, sont invités à discerner et à être signes et témoins de la miséricorde de Dieu dans les situations rencontrées. Faire en sorte que nos familles soient le réceptacle et le tabernacle, le lieu d’accueil et le lieu ou peut grandir et demeurer le don de l’amour de Dieu pour chaque être.
C’est le jour de la fête de Saint François d’Assise que le Pape François signe cette lettre encyclique qu’il a intitulée « Fratelli tutti », expression en italien tirée d’un écrit du Saint qui s’adressait « à tous ses frères et sœurs, pour leur proposer un mode de vie au goût de l’Évangile ». C’est d’une « fraternité ouverte qui permet de reconnaître, de valoriser et d’aimer chaque personne… » dont va nous entretenir le Pape au long des 216 pages de cette encyclique.
Dans l’introduction à cette lettre, le pape François livre son rêve de fraternité et d’amitié sociale.
« Je livre cette encyclique sociale comme une modeste contribution à la réflexion pour que, face aux manières diverses et actuelles d’éliminer ou d’ignorer les autres, nous soyons capables de réagir par un nouveau rêve de fraternité et d’amitié sociale qui ne se cantonne pas aux mots. Bien que je l’aie écrite à partir de mes convictions chrétiennes qui me soutiennent et me nourrissent, j’ai essayé de le faire de telle sorte que la réflexion s’ouvre au dialogue avec toutes les personnes de bonne volonté (6). »
S’inscrivant dans le contexte de la COVID-19, le Pape François alerte sur ce qu’elle a révélé et sur les mauvaises pistes qui s’ouvriraient.
« …la pandémie de la Covid-19 [qui] a mis à nu nos fausses certitudes […] l’incapacité d’agir ensemble a été dévoilée […] on a observé une fragmentation ayant rendu plus difficile la résolution des problèmes qui nous touchent tous. Si quelqu’un croit qu’il ne s’agirait que d’assurer un meilleur fonctionnement de ce que nous faisions auparavant, ou que le seul message est que nous devrions améliorer les systèmes et les règles actuelles, celui-là est dans le déni (7). »
Enfin, par un vœu et un rêve, le Pape nous invite à entrer dans une espérance tout au long de cette lettre qu’il nous adresse.
« Je forme le vœu qu’en cette époque que nous traversons, en reconnaissant la dignité de chaque personne humaine, nous puissions tous ensemble faire renaître un désir universel d’humanité. Tous ensemble. […] Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des voyageurs partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette même terre qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou de ses convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères (8). »